Les Vosges en étoile – Une semaine en ballons

Reportage

LES VOSGES EN BALLONS
DU SAMEDI 10 JUILLET AU DIMANCHE 18 JUILLET

COMPOSITION DU GROUPE
Nous sommes neuf personnes au total à participer à ce séjour. Six au départ de Lyon en voiture.
Deux personnes viennent d’Aubagne par le train, Sabine L. et sa mère Moktaria. On les récupérera en gare de Besançon TGV le samedi 10 vers 10h30, et on les redéposera à cette même gare le dimanche 18, vers 15h.
Mathilde arrive de Paris, en taxi (enfin, de Paris à Munster en train et le reste en taxi).
Ce petit groupe se compose de trois DVs et six accompagnateurs.
Nous sommes donc très bien encadrés.

L’HEBERGEMENT – GITE ET COUVERT
Nous sommes hébergés au Refuge CAF des Trois Fours sur la commune de Stosswihr, tout près du col de la Schlucht.
Ce refuge peut accueillir une quarantaine de personnes, mais il ne sera jamais complet pendant notre séjour.
Nous sommes installés, tous les neuf, dans un petit coin isolé comprenant trois petites chambres de trois lits chacune. Les chambres sont vraiment très petites et me font penser, quand je m’y installe aux compartiments des trains-couchettes que je prenais quand j’étais petite. Nous avons une toilette dans notre petit secteur, mais pour prendre une douche, il nous faut traverser deux petits dortoirs et descendre deux étages jusqu’au sous-sol.
Le refuge a été refait tout récemment et les lieux sont bien propres et bien entretenus.
Les trois personnes qui gèrent le refuge au quotidien, Céline, Julie et Emilie, sont charmantes, souriantes, très vives et efficaces. Elles font tout ce qu’elles peuvent, en permanence, pour satisfaire nos moindres désirs, voire nos caprices de vieux randonneurs !
Et elles ne manquent pas d’humour !
Les repas sont préparés avec beaucoup d’attention. Les menus sont différents chaque jour.
Nous mangeons, bien sûr, des spécialités alsaciennes, telles que la Munstiflette (déclinaison alsacienne de la tartiflette) ou la palette fumée aux lentilles, mais aussi des mets plus inattendus, tels que les lasagnes végétariennes d’Emilie qui semblent avoir fait l’unanimité (certaines personnes reviendront même avec la recette !). Et munster fermier de chez Schmidt ou des Trois-Fours à chaque repas !
Les desserts, bien que très variés également, ne rencontrent pas le même succès pour tout le groupe : certains les trouvent délicieux, d’autres un peu trop « roboratifs », manquant en particulier d’une petite crème anglaise ou d’un petit coulis qui les auraient rendus plus « glissants ».
Les petits déjeuners sont tout à fait classiques, et les piqueniques bien variés aussi, avec leurs salades et compotes quotidiennes.

LA METEO
Ah, la météo… C’est le sujet numéro 1 de nos conversations, puisque d’elle dépend notre programme quotidien.
On la prend sur les sites internet, on la consulte sur nos téléphones respectifs, on en parle avec les gardiennes du refuge, parfois on l’ignore ou on la méprise, mais plus souvent, on l’anticipe avec doigté, bref, on s’y adapte en modifiant nos activités.
Pluie fine, type crachin breton (celui qu’on devait avoir l’an passé), pluie d’orage, particulièrement généreuse la nuit, heureusement, brouillard type londonien, vent que l’on entend hurler dans la cage d’escalier du refuge, fraîcheur matinale, mais aussi petit rayon de soleil timide, et bien sûr, grand ciel bleu et franc soleil…. Le dimanche 18 !
On suit d’un peu loin les informations concernant la situation catastrophique en Allemagne et en Belgique, et on se dit que pour nous finalement, ça aurait pu être pire.

LES RANDONNEES ET LES CHEMINS
Nous ferons deux types de randonnées :
– Les longues, à la journée, quand le temps nous le permettra :
Première grande randonnée, le dimanche 11, au départ du Col de la Schlucht : boucle vers le Lac Vert, le Lac des Truites, se terminant par un long cheminement sur les crêtes.
Cette randonnée sera la plus longue avec 23 kilomètres, et 950m de dénivelé, mais pas la plus difficile.
Le lendemain, lundi 12, nous partirons du parking du Lac Blanc, pour atteindre, plus tard, le Haut des Chaumes, suivi d’un long cheminement sur une belle tourbière, avec de nombreux passages sur des planches en bois pour éviter les zones humides, comme en Ecosse. On passera ensuite près du Lac Noir, par différentes tables d’orientation et observatoires, et le meilleur pour la fin : belle descente vers le Lac Blanc par un chemin vertigineux et chaotique, dans des blocs, avec de grosses marches, des passages de câbles et des rambardes.
Le mercredi 14, nous partirons en voiture jusqu’à l’Auberge de Firstmiss d’où nous rejoindrons le Lac de Blanchemer. L’objectif de cette sortie sera d’aller jusqu’à un point de vue d’où l’on peut admirer la tourbière du Machais, tourbière flottante, unique en Europe. Nous ferons une boucle par le Col de l’Etang et le col du Bramont. Une petite cabane arrivera à point pour nous abriter de la pluie pendant notre piquenique.
Le vendredi 16, on décidera de passer outre la météo et d’aller jusqu’au Grand puis au Petit Ventron. Plus facile à dire qu’à faire ! Le départ de l’itinéraire est barré au niveau du barrage du Lac de Kruth, à cause de travaux, nous obligeant à reprendre les voitures. Mais là encore, le départ du circuit sera difficile à trouver, on le débusquera finalement après une courte grimpette technique et soutenue. Le parcours, d’abord en forêt puis, sur une piste, et, pour finir, sur les crêtes à partir du Col du Bockloch, sera magnifique, plutôt aquatique et très arboré. On piqueniquera à la table d’orientation du Grand Ventron (voire sous la table d’orientation pour certains) juste avant la grosse pluie qui s’abattra sur nous pendant notre descente sur un joli sentier bien praticable.
Le samedi 17, nous partirons pour notre dernière grande randonnée, au départ du parking du Hohneck, vers trois lacs : Lac du Schiessrothried, lac de Fischboedle et lac d’Altenweiher.
Emilie va nous accompagner toute la descente jusqu’au second lac, non loin du premier. A ce second lac, le Fischboedle, nous ferons une pause grignotage dans une splendide cabane, la Gloriette. Comme le premier, ce second lac est magnifique. Sabine V. et René me décrivent les lieux avec beaucoup d’émotions : un beau pierrier descend jusqu’au lac, très sombre, dans lequel se reflètent les majestueux sapins avec leurs bourgeons d’un vert plus clair qui tranchent nettement sur l’eau très noire du lac. C’est un très bel endroit… Puis, on remontera un chemin bien raide pour mieux descendre sur le dernier lac par un sentier hyper technique, chaotique et détrempé, qui requerra toute notre attention et une grande vigilance de la part de nos guides, bravo à eux ! Il suffit de dire que nous mettrons 1h30 à parcourir 2 km (sans aucune pause, bien évidemment !). On déjeunera au bord du troisième lac, puis on rejoindra notre point de départ, par un très long chemin en pente douce avec d’occasionnelles petites redescentes. On retrouvera le parking du Hohneck bien contents de notre circuit.
– Et les plus courtes, en demi-journées :
Sentier des crêtes jusqu’au Hohneck, comme mise-en-jambe le premier samedi après-midi, sous le soleil.
Petit circuit entre Munster et Gunsbach, essentiellement sur le Chemin d’Albert Schweizer le mardi 13 après-midi.
Jeudi 15 après midi : Petite boucle autour du mémorial du Linge de la guerre de 14-18 jusqu’au Col du Wettstein et son cimetière français.
Finalement, le dimanche 18, sur la route du retour, petit tour panoramique (celui des touristes) jusqu’au sommet du Grand Ballon, par grand beau temps, sous un ciel bleu insolent… L’accès est plutôt confortable, et la vue à 360° sur la plaine d’Alsace et tous ses petits villages typiques, est somptueuse et fait oublier le brouillard et la pluie de la semaine. Non, la grosse boule blanche qui coiffe le sommet du Grand Ballon n’est pas une balle de golf géante, elle abrite un radar pour l’aviation civile !
Les chemins se déclinent sous deux formes, essentiellement :
– Les larges pistes forestières, confortables pour les marcheurs, sur lesquelles peuvent rouler les véhicules, mais qui deviennent vite monotones.
– Les sentiers plus étroits, pouvant être très escarpés. Ils sont jonchés d’obstacles en tout genre, semés d’embûches de toutes sortes : cailloux, pierres, racines enchevêtrées, troncs d’arbres en travers. Le tout enrobé d’une belle couche de mousse moelleuse !
On rencontre de très nombreux petits ponts charmants, en bois, en métal ou en pierre, qui enjambent des petits ruisseaux. Enfin, petits en temps normal, car là, ils sont gonflés d’eau bouillonnante, qui déferle de façon tapageuse vers la vallée. Parfois même ces ruisseaux s’installent, sans vergogne, au milieu des chemins que nous sommes censés emprunter, rendant notre progression encore plus délicate, nous forçant à faire d’énormes pas, ou à sautiller de pierre en pierre, à moins qu’on décide carrément de les traverser dans l’eau (nos chaussures sont transformées en baignoires, de toute façon). Le cheminement est si humide que Jean les qualifie de randonnée aquatique.
Car n’oublions pas que l’eau vient aussi du ciel, en gouttes fines, ou averses plus drues, et quand celle-ci s’estompe, les arbres, qui se purgent de leur trop-plein d’eau, prennent le relai pour nous arroser copieusement, sans parler du fait que les plus grands d’entre nous, reçoivent régulièrement la caresse rafraîchissante, ô combien tonifiante d’une grosse branche toute gorgée d’eau, en pleine figure !!!
Pour délimiter les secteurs, ou isoler les champs, nous rencontrons souvent de petits tourniquets, comme dans le métro, plus rarement des barrières ou des échaliers.
Les panneaux indicateurs sont plutôt clairs et précis, et le système de balisage original du Club Vosgien très pratique et bien utile pour s’y retrouver sur les nombreux sentiers qui sillonnent le massif des Vosges.
Néanmoins, une curiosité tout à fait inattendue nous a fait beaucoup rire. En effet, des inscriptions sauvages « quéquette et foufoune » reviennent régulièrement sur les barrières, les panneaux indicateurs, les tourniquets, ou encore dans les cabanes que nous croisons. Ce message revient quasi-quotidiennement, et nous nous sommes souvent demandé ce qu’il pouvait bien signifier ! On s’est promis de faire une recherche plus approfondie pour en dégager le sens profond !

LA FAUNE ET LA FLORE
Les vaches vosgiennes, avec leurs petites cornes, très élégantes dans leur robe noire et blanche, font l’admiration de tous nos photographes. Elles sont munies de clarines que l’on entend partout dans la montagne, et, par endroits de petits veaux attendrissants les accompagnent.
On aperçoit aussi de beaux nids de cigognes tandis que nous piqueniquons à l’abri sous le porche du temple de Munster. Elles ont eu le bon sens de s’installer précisément au-dessus de la pharmacie qui s’appelle « la Cigogne » ! En Alsace, la discipline se niche vraiment partout ! Par contre, en forêt, les oiseaux se font bien discrets ; soit ils n’aiment pas la pluie, soit ils sont partis en vacances sous des cieux plus clément !
A plusieurs reprises, on rencontre également de très beaux chevaux, gambadant derrière des clôtures, ou carrément sur le chemin.
Les chamois (introduits dans le massif dans les années 1950) sont également assez nombreux. On en croise même un à moins de dix mètres sur le sentier du Hohneck, qui ne nous a pas repérés à cause du brouillard épais. Tous les soirs, au moment du dîner, ils font leur apparition dans la prairie en-dessous du refuge, et tout le monde se lève pour les admirer par la fenêtre.
Côté végétation, on rencontre bien évidemment beaucoup de sapins, mais aussi des feuillus.
Les digitales pourpres foisonnent, mais nous croisons également de beaux lupins, des pois de senteur, des lys martagon et bien d’autres fleurs.
La fougère est aussi très abondante, et les orties sont de sortie ! Les bouquets de genêts d’un jaune éclatant alternent parfois avec les touffes de serpolet rose ou violet, pour le plus grand bonheur de Sabine V.
Quelques linaigrettes, blanches et duveteuses, piquettent la surface de la tourbière que nous traversons le lundi, histoire de nous rappeler que l’humidité règne en maîtresse !
D’ailleurs, du fait de cette humidité ambiante, on trouve de très nombreux champignons, de toutes les tailles, formes et couleurs.
Certains arbres ont même été colonisés par d’énormes spécimens qui semblent s’être solidifiés sur leurs troncs, donnant à ceux-ci un aspect tout à fait inhabituel qui, là encore, font crépiter les appareils photo !
Et, bien sûr, la mousse est très épaisse et recouvre les rochers et les troncs d’arbre d’un magnifique tapis vert éclatant et lumineux que l’on a envie de caresser, sauf qu’il est gorgé d’eau !

LES SORTIES CULTURELLES
Le mardi 13 juillet, comme il a plu toute la nuit et que la matinée ne s’avère guère engageante, nous décidons d’aller visiter le musée d’Albert Schweizer, qui se situe dans sa maison de Gunsbach, près de Munster. Nous bénéficions d’une visite guidée, commentée par un passionné qui a lui-même rencontré ce personnage lorsqu’il était enfant.
Albert Schweizer était à la fois philosophe, musicien, pasteur, écrivain, et surtout médecin et chirurgien. Il a travaillé de longues années en Afrique au Gabon où il fit construire un hôpital à Lambaréné. C’était un personnage exceptionnel ; plusieurs d’entre nous achèteront des ouvrages écrits par lui à la boutique du musée.
On ne peut s’empêcher de citer une de ses belles phrases : « Le bonheur est la seule chose qui se double si on le partage ».
Le jeudi 15, comme la pluie est encore au rendez-vous, on décide d’aller jusqu’au Mémorial du Linge. Ce massif est un haut lieu de la guerre 1914-1918, car une longue bataille de tranchées y a fait rage pendant l’été 1915, faisant 17000 morts au total.
Il se situe au Col de Wettstein, non loin de Munster. On zigzague sur le parcours en faisant des tours et détours, entre les vestiges de cette terrible bataille : tranchées, blockhaus, cimetières allemand et français. Encore une fois, une jolie cabane, pleine de livres, nous accueille pour un grignotage en nous abritant de la pluie. Mais le piquenique se fera au soleil.
Ce même après-midi, quatre d’entre nous décident d’aller visiter le mémorial du Linge. Un petit film de vingt minutes nous replonge dans l’ambiance de la bataille avec beaucoup de précisions, puis un circuit autour du musée complètera cette visite fort intéressante.

LES MOMENTS FESTIFS
Bien que notre premier piquenique soit individuel à notre arrivée au refuge le samedi midi, nous allons savourer d’emblée trois bons gâteaux. Celui de Sabine V. au citron, celui de Colette apporté par René, aux amandes et fruits rouges. Et le dernier, plus subtil, plus vaporeux, plus visuel aussi, et certainement le plus léger des trois, la Forêt Noire, celle sur laquelle plonge le regard au-delà de la plaine du Rhin qui s’étend à nos pieds, lorsqu’on admire le paysage du bon côté !
Et comme le fait remarquer Jean, quoi de plus normal, trois gâteaux, pour une mise-en-bouche au Refuge des Trois Fours !!!
Le petit apéro, fort sympathique, offert par nos gardiennes le mardi 13 au soir. Il s’agit d’un kir cassis, mirabelle ou myrtille ! Avec quelques bretzels, bien évidemment !
Nos hôtes sont vraiment très sympathiques !
Le 14 juillet : c’est l’anniversaire de Moktaria alias Taya, la maman de Sabine L. Nous nous retrouvons au sous-sol (le chauffage vient d’être rallumé au refuge tant il fait froid et humide) et nous arrosons l’anniversaire de Taya avec du Crémant d’Alsace (normal) et des Navettes de Marseille (normal aussi car Taya et Sabine viennent précisément de la région PACA). L’ambiance est joyeuse et nous en profitons pour appeler Christine Séjournant qui n’a pas pu « séjourner » avec nous à cause de sa récente entorse à la cheville.
Dernier soir, apéritif tous ensemble autour d’un verre de Gewurztraminer et de petits biscuits fabriqués par Emilie. Et toutes ces petites douceurs apportées par tout le monde, mais dont la palme revient incontestablement à Sabine L. et sa maman ! Merci à elles pour nous avoir apportés ces friandises ensoleillées !

CONCLUSION
Malgré une météo pour le moins défavorable, nous avons pu, grâce à nos organisateurs malins et dégourdis, profiter de chaque journée et visiter de jolis sites qui nous ont donnés un bel aperçu de cette jolie région. Merci à Bernard de nous avoir proposé et organisé ce séjour dans les Vosges.
Merci à toutes et à tous pour votre bonne humeur et votre humour qui n’a jamais failli.
Merci aussi à nos trois charmantes hôtesses doublées de fins cordons bleus qui ont largement contribué à rendre notre séjour au Refuge des Trois Fours très agréable.

Jocelyne BRIGGS, pour l’essentiel de la préparation, avec quelques grains de sel de Jean !-)

Description

10 juillet 2021 au 18 juillet 2021

Les inscriptions à cette randonnée sont fermées.

Rendez-vous

Le samedi 10 juillet 2021

  • à 7h à Vénissieux, place Jules Grand Clément, côté parking relais (métro ligne D – station Parilly).
  • à 12h au chalet-refuge des 3 Fours (Route des Crêtes, 68140 Stosswihr)

Activité

Pour la deuxième année consécutive, la situation sanitaire nous conduit à remplacer la traditionnelle semaine itinérante par une semaine en étoile.

Nous serons basés au chalet-refuge CAF des 3 Fours, à 1197 m, entre le col de la Schlucht et le sommet du Hohneck (1363 m). Nous organiserons des randonnées en étoile à partir du refuge. 4 randonnées sont possibles au départ du refuge, les autres randonnées se feront après un court transfert en voiture. Ci-dessous une liste indicative de randonnées envisageables ; le choix sera fait chaque soir pour le lendemain en fonction des prévisions météo et de l’état de la troupe (!), en essayant d’alterner randonnées au départ du gite et randonnées nécessitant un transfert en voiture.

Randonnées à partir du refuge :

  • Vers le nord du côté alsacien : les 4 lacs (Vert, Truites, Noir et Blanc, des noms facile à retenir !)
  • Vers le nord du côté lorrain : Chaume de Balveurche, lacs de Longemer et Retournemer
  • Vers le sud du côté alsacien : le Honeck, les lacs du Schiessrothried et de Fischboedle, le Kastelberg
  • Vers le sud côté lorrain : lac de Blanchemer et tourbière de Machais

Randonnées avec transfert en voiture :

  • Le Grand Ventron et le lac de Kruth-Wildenstein
  • Le Grand Ballon
  • Le Petit Ballon
  • Le Ballon d’Alsace
  • Champ de bataille du Linge

 Cotations

Niveau :        2

Difficulté :     2

Durée :          9 jours de marche

Portage :      uniquement vos affaires pour la journée

Hébergement : chalet-refuge CAF des 3 Fours

IMPORTANT : prévoir duvet + sac à viande + oreiller

Cartographie : IGN : Top 25 3618 OT, 3619 OT, 3719 OT, 3620 ET

Equipement

Un sac de voyage (si possible sans roulettes) pour vos affaires de rechange pour la semaine (pas de valise).  Prévoir un duvet avec sac à viande et un oreiller.

Sac à dos pour la journée, chaussures de randonnée, bâtons de marche, veste coupe-vent, polaire, cape de pluie, casquette ou chapeau, crème solaire, lunettes de soleil, boite étanche pour le pique-nique du midi, gobelet, gourde ou sac à eau (au moins 2 litres)

Linge de rechange pour la semaine, lampe frontale, affaires de toilette, pharmacie personnelle, une paire de chaussures d’intérieur (tongues ou autres), masques et gel hydro-alcoolique.

Animateur GTA

Bernard DUBOUCH / Téléphone : 06 25 90 73 40  / mail : dubouch.bernard@neuf.fr

Tarif

425 € par personne

Le prix comprend l’hébergement en pension complète du samedi 10 (hors pique-nique du midi) au dimanche 18 juillet (hors repas du soir).

Frais de covoiturage au départ de Lyon : 62 € (sur la base de 4 personnes par voiture), à régler à votre chauffeur.

 Prévoir en plus des frais de covoiturage sur place qui seront calculés à la fin du séjour.

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Bulletin d’inscription

Semaine GTA – VOSGES – Du samedi 10 au dimanche 18 juillet 2021

Séjour limité à 14 personnes avec un maximum de 5 DV

 Inscription pour : ……..  personne(s)

Nom : ………………………………………….          Prénom : ………………………………………….

Nom : ………………………………………….          Prénom : ………………………………………….

Nom : ………………………………………….          Prénom : ………………………………………….

Important : indiquez vos éventuelles contraintes alimentaires :

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Inscription directement sur le site internet  www.gtahandicalpes.fr dans l’espace adhérent  avant le 30 mai 2021. (ou par mail uniquement en cas de difficulté à contact@gtahandicalpes.fr )

Bulletin d’inscription et règlement à retourner par courrier à :

Bernard DUBOUCH 

26 rue Camille Roy 69007 LYON

Tarif : 425 € par personne  en pension complète.

Règlement (cocher l’option choisie) :

Règlement par chèques bancaires : en 2 chèques établis à l’ordre de GTA HANDIC’ALPES :

[  ]  1 chèque d’acompte de 130 €, qui sera encaissé fin mai,

[  ]  1 chèque de solde de 295 €, qui sera encaissé début juillet.

Règlement par virement : 

[  ] 1 virement  d’acompte de 130 € à l’inscription.

[  ] 1 virement  de solde de 295 € avant le 3 juillet.

Si vous réglez par virements bancaires, merci de prévenir Bernard Dubouch par mail ( dubouch.bernard@neuf.fr ) en précisant le montant et l’objet (semaine GTA Vosges 2021)

IMPORTANT : Votre inscription ne sera validée qu’à réception de votre règlement.

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