Semaine itinérante #2 – Tour de la Haute-Maurienne

Reportage

Tour de la Haute-Maurienne, du dimanche 7 au lundi 15 août 2022

J0 :

Rencontre autour de 18h au gîte du Petit Bonheur. Chacun profite d’une bonne douche, la prochaine étant incertaine. Aussi tout le monde apprécie le melon servi en entrée suivi d’une généreuse part de lasagnes aux légumes. Nous savons tous que fruits et légumes risquent de manquer aux menus des sept prochains jours.

J1 :

Sacs à dos bouclés, valises à roulettes laissées dans les voitures, nous voilà réunis à douze devant le gîte du Petit Bonheur pour une photo de groupe.

Cette première étape nous fait marcher sur les pistes de ski de fond du domaine de Bessans. Nous passons devant le hameau de La Goulaz et nous engouffrons par erreur dans le début de la vallée des Vincendières. Après quelques minutes, nous rectifions le tir et reprenons le chemin qui nous amène sur la montagne d’Andagne. C’est sur cette montagne que nous trouvons une petite cabane en pierre à côté de laquelle pique-niquer.

L’après-midi se poursuit en marchant sur une partie des pistes de ski alpin de Bonneval-sur-Arc. Une petite erreur nous fait descendre 100 mètres de dénivelé inutilement ; pour les remonter, nous marchons sous les lignes d’un tire-fesse. C’est très pentu !

Le chemin de Michel quitte le nôtre avant cette remontée raide. La fatigue qu’il éprouve le fait douter de sa capacité à pouvoir suivre le groupe jusqu’à la fin de la semaine. Il préfère quitter le groupe tant que l’itinéraire le permet, pour rejoindre Bonneval-sur-Arc puis Bessans. Nous continuerons à penser à lui tout au long de la semaine, en marchant sur les itinéraires qu’il avait sélectionnés, ou parfois un peu à côté !

L’arrivée au refuge des Evettes, entouré par les glaciers des Evettes et du Grand Méan, nous immerge dans une ambiance de haute-montagne. Le lac en contrebas du refuge nous laisse espérer la possibilité de s’y laver. Pas autorisée malheureusement, la baignade remuerait la vase et rendrait non potable l’eau qui y est puisée après filtration par ultra-violets.

Les déplacements dans ce refuge font penser à l’intérieur d’un bateau : chaque passage de porte est marqué par un seuil. Personne n’oublie de lever les pieds !

Le dîner ne sera pas le plus fameux du séjour. Après la soupe nous est servi un plat de coquillettes accompagné d’une viande en sauce. La gardienne semble plus enthousiasmée que nous par son menu. Elle tente un jeu de devinette avec le cake « étouffe-chrétien » du dessert : il contient deux fruits à deviner. Nous les cherchons encore !

Cette nuit les hommes dorment dans un dortoir côté glacier du Grand Méan, et les femmes du côté du glacier des Evettes.

J2 :

La randonnée du jour comporte une descente jusqu’au hameau traditionnel de l’Ecot, suivie d’une remontée en longeant l’Arc. C’est au bord d’un ruisseau qui l’alimente que nous choisissons de pique-niquer. Cette pause permet à certains de récupérer de leur courte nuit en refuge et à d’autres de faire un brin de toilette ou de lessive. Après cet arrêt nous quittons l’ambiance des ruisseaux pour un sentier plus en balcon et permettant d’atteindre l’altitude de 2759 mètres, celle du refuge du Carro, le plus élevé de tout notre périple. Ce refuge cache deux lacs : le Noir et le Blanc. Pour comprendre l’origine de cette différence de couleurs, il faut lire les explications affichées à côté des toilettes du rez-de-chaussée du refuge. Peu s’y sont attardés, l’odeur refoulant des WC y étant difficilement supportable !

Le gardien, au look canadien (casquette à l’envers, avant-bras tatoués), est fort sympathique. Même s’il refuse le rab de salade (désolée pour Ginette qui n’a pas pu avoir sa dose de légumes verts!), il nous offre un verre de Limoncello maison à la fin du repas. Aussi accepte-t-il très gentiment de nous servir le petit déjeuner du lendemain matin à 6h, alors qu’il a l’habitude de commencer une heure plus tard. Notre étape du lendemain est longue alors nous voulons partir tôt.

Du coup, tout le monde se couche rapidement, dans le même dortoir. Pour marquer tout de même une petite « séparation », nous plaçons les hommes à gauche et les femmes à droite.

J3 :

À 7h, les habituelles dernières du groupe sont enfin prêtes à partir. Il paraît qu’il fallait être prêts pour 6h45, mais elles n’ont pas saisi cette information. Tout le groupe les attend !

La randonnée va être longue, alors toutes les idées pour la raccourcir sont bonnes à prendre. Nous ne savons pas encore si nous choisirons l’option du tunnel, mais nous décidons d’attendre de s’en approcher pour prendre une décision réfléchie. La vue magnifique sur les glaciers fait oublier les tergiversations.

Lors de notre arrivée au refuge du Fond des Fours, une salariée de la gardienne nous fait un petit « topo » sur les règles à respecter. Grosse déception pour nombre d’entre nous : impossible de recharger les téléphones portables. Or nous restons deux nuits dans ce refuge. Comment allons-nous survivre si nos téléphones n’ont plus de batterie ?

Par contre, ici comme dans tous les autres refuges, nous ne risquons pas de mourir de faim. Un généreux plat de lasagnes          suit la soupe, qui est même servie avec un morceau de fromage, ce qui nous semble un luxe. Le dessus des lasagnes est un peu sec : nous apprendrons le lendemain qu’Antonin, un des salariés de la gardienne, est désolé d’avoir oublié d’hydrater régulièrement son plat. La compote servie en dessert est vivement appréciée.

Pas besoin de se lever tôt le lendemain, ceux qui voudront se reposer le pourront. Comme une guitare traîne dans le refuge, Thierry égaye notre soirée avec la partie la plus cocasse et coquine de son répertoire.

Pour dormir, on ne se pose plus trop de questions : tous dans le même dortoir, hommes et femmes du même côté, plus de chichis !

Le récit de Francis :

Après un départ assez matinal pour certains (et d’autres pas), nous marchons sur un sentier balcon dominant la belle vallée de la Maurienne, surplombée de hauts glaciers  dans un triste état de fonte, mais la vue valait sans pesant d’or. En fin de matinée, nous avons fait une petite pose barre céréales avant de rejoindre la route du col de l’Iseran, que nous avons emprunté en passant par le tunnel et avons ainsi gagné environ 1h de marche, et voilà notre première modif. Ensuite nous avons repris le sentier pour accéder au col des Fours, en faisant une petite pose sandwich à mi-chemin. Arrivés au col, nous nous sommes dépêchés à faire des photos car le vent nous glacait les os. Puis avant d’arriver au refuge, nous avons fait une pose sieste, bonbons et papotages, sans quelques-uns qui ont préféré la bière au refuge. Plus tard, le moment tant redouté : la douche froide, plutôt glacée, je devrais dire, que  deux filles ont eu le courage de prendre, en nous offrant un magnifique orgasme réfrigérant, en cœur de surcroît ! Après un bon repas,  il a bien fallu se mettre au lit dans ce beau refuge du Fond des Fours.

J4 :

« Journée libre de repos ; une randonnée en boucle ou un aller-retour vers un sommet sera proposé. » Voici ce qu’avait écrit Michel.

Un aller-retour vers un sommet a bien été proposé par Francis. Cette idée a rencontré un franc succès, mis à part chez Jean et Servane qui souhaitaient profiter du repos. À 8h30, la fidèle troupe suit son guide, en direction du col de la Rocheure. À 9h, elle est de retour avec une intention autre : descendre à Val-d’Isère pour y manger une glace, s’asseoir à la terrasse d’un café, et recharger les téléphones portables. Un tout autre projet, faisant augmenter l’effectif de la troupe, mais qui n’a pas empêché Jean de garder fidèlement le refuge.

La descente jusqu’à Val-d’Isère nous a fait croiser le chemin de Claire, gardienne de notre refuge. Elle remontait des vivres, le maximum qu’elle pouvait porter, et en avait laissés dans sa voiture. Pour lui rendre service, nous prenons le reste lors de notre remontée.

Avant ça, les retrouvailles avec la ville sont un choc : le monde, la consommation, la chaleur renvoyée par le bitume… Certains verront cette escapade comme un enrichissement de leur culture générale : ils pourront dire qu’ils connaissent Val-d’Isère ; comme ça, c’est fait !!!

Le dîner est encore très bon. Pour nous remercier du service rendu, la gardienne nous offre un verre de génépi à la fin de repas.

J5 :

Pas besoin de se presser ce matin. L’étape consiste à rejoindre le refuge de la Femma, qui est annoncé à trois heures de marche, moins de 10 km à parcourir. Etape courte mais très belle : elle rappelle l’Islande à certains, le Zanskar à d’autres.

Nous profitons de notre temps libre pour faire une longue pause du midi au bord d’un lac, avec sieste pour ceux qui le souhaitent.

À l’approche du refuge, les marmottes se font très nombreuses : quasiment comme une haie d’honneur. D’ailleurs, on commence à parler de nous dans le massif. C’est le gardien qui nous le fait savoir : il a entendu parler de notre groupe la veille par plusieurs randonneurs ayant croisé nos chemins et impressionnés par cette aventure collective.

Ce gardien nous annonce une bonne nouvelle : la possibilité de se doucher avec de l’eau chaude, pendant 3 minutes et 30 secondes, moyennant quelques euros.

Pour dormir nous disposons de deux dortoirs de six places. Or notre groupe est composé de sept  femmes et cinq hommes. Christelle se désigne pour rejoindre le dortoir des hommes.

J6 :

Nos corps sont rôdés pour marcher, la troupe est prête de plus en plus rapidement le matin, alors en avant ! En plus aujourd’hui notre équipe va gagner un membre : Loïc, conjoint de Servane, qui marchera avec nous pour les 2-3 derniers jours. Il démarre sa randonnée ce matin de Lanslebourg et pense nous retrouver vers le refuge du Plan du Lac. Ce qu’il ne sait pas, c’est que nous avons modifié notre itinéraire (avec tout le respect que nous devons pour le travail préparatoire réalisé par Michel) qui nous paraissait court. Nous envisageons un aller-retour jusqu’au lac du col de Lanserlia.

C’est donc au bord de ce lac que nous faisons, comme la veille, une pause déjeuner avec possibilité de sieste et de baignade. Comme Francis aime les sommets, il décide de monter jusqu’à une « petite » pointe, à côté de la pointe de Lanserlia. Il ne semble pas avoir faim, lui. Nous, si !

Lorsque Francis redescend de sa pointe, il est accompagné de Loïc, qui admirait le paysage depuis ce sommet. À quelques minutes près, ils se seraient ratés, Loïc s’apprêtant à repartir dans une autre direction.

A l’issue de notre arrêt au bord du lac, le groupe décide de ne pas rebrousser chemin et de continuer à découvrir de nouveaux sentiers en rejoignant le refuge du Plan du Lac après l’ascension de la pointe de Lanserlia, qui culmine à 2909 mètres. L’arrêt au sommet est court car le vent souffle et les frileuses ont froid. La descente suit un itinéraire de ski de randonnée, qui ne présente pas de danger par temps sec.

Pour nous récompenser de nos efforts, nous avons droit à une généreuse croziflette et un succulent brownie.

J7 :

« Où ça la panthère ? » dit Christiane en quittant le refuge aux côtéx de Francis et Sandra. Sommes-nous à la recherche de la panthère des neiges ce matin ?

« Les pentes herbeuses », lui dit Francis, « tu as vu comme elles sont belles ? ». Gros éclats de rire sur ce sublime jeu de mots résultant d’un quiproquo.

Nous avançons rapidement et avec facilité sur ces pentes herbeuses dominées par la Grande Casse et la Dent Parrachée. Il ne faut pas traîner car 18 kilomètres sont à parcourir, avec 1000 mètres de dénivelé négatif, et presque la même chose en positif. La pluie est annoncée, normalement dans l’après-midi. En fin de matinée, l’air se charge d’humidité : nous sentons arriver la pluie. Et ça ne rate pas. Alors s’en suit une succession de pauses, pour mettre uniquement la housse de pluie de notre sac à dos, puis finalement pour enfiler son poncho, ou alors pour mettre la veste Gore-tex parce qu’on a trop chaud sous le poncho… Chacun sa méthode, chacun son look des montagnes !

La pause du midi est faite aux abords d’un refuge non gardé : le refuge du Cuchet. Une partie du groupe choisit la terrasse herbeuse au-dessus du refuge, l’autre s’installe sur la terrasse en bois devant le refuge, et termine son repas au chaud à l’intérieur. Aujourd’hui, pas de baignade, pas de sieste, pas de bronzage au soleil. Nous ne traînons pas. Le chemin qu’il nous reste à parcourir jusqu’au refuge de Vallonbrun est plus ou moins en balcon, donc avec un relief modéré. Et heureusement, car Laura commence à sentir des douleurs dans sa cuisse droite, ressemblant à une déchirure musculaire. Une partie du groupe part devant, l’autre avance à un rythme bien plus modeste.

Ceux qui arrivent en premier au refuge de Vallonbrun en profitent pour faire connaissance avec les deux gardiennes. C’est leur première année dans ce refuge. L’une est kinésithérapeute, l’autre sage-femme. Pour le moment elles sont deux, bientôt elles seront trois : la kiné est enceinte. Ici, restriction d’eau maximale : pas de douche, pas de lessive au lavabo, juste le droit de remplir un peu nos gourdes. Par contre, de la bière, il y en a ! Une fois que toute la troupe est réunie au refuge après les efforts de la journée, nous partageons ensemble bières, jus de fruits ou tartes aux myrtilles.

La visite du dortoir donne l’impression d’un voyage en train : plusieurs cabines de 2×2 lits superposés sont réparties de part et d’autre d’un couloir très étroit. Pour rentrer dans sa « cabine », il faut se mettre de côté ; même la largeur d’épaules d’un petit gabarit ne passe pas !

Cette dernière soirée tous ensemble se fera dans une ambiance intime car le refuge n’accueille ce soir que cinq personnes en plus de nous. Les deux gardiennes sont très bonnes cuisinières. Leur soupe est élue, presque à l’unanimité, meilleure soupe du séjour. La polenta gratinée au bleu de Bonneval a un goût de « reviens-y », et certains se seraient bien enfilés une autre crème dessert aux œufs.

J8 :

Direction le gîte du Petit Bonheur à Bessans, pour clore cette magnifique semaine de bonheur !

Servane (et Francis)

Description

7 août 2022 au 15 août 2022

Les inscriptions à cette randonnée sont fermées.

Heure de départ et lieu du rendez-vous de la randonnée

Départ de LYON : le dimanche 7 aout (heure à préciser) à Vénissieux, place Jules Grand Clément (métro ligne D – station Parilly)
Rendez-vous : à Bessans à partir de 17 h, au gîte du Petit Bonheur

 Activité

Au contact permanent des glaciers, nous cheminerons au cœur des grands espaces. A travers ce tour, nous découvrirons une extraordinaire diversité de paysages, un condensé faunistique et floristique du parc national de la Vanoise. Cet itinéraire nous emmènera sur des sentiers balcons avec des vues à couper le souffle. Nous passerons également là où les glaciers étaient encore présents il y a seulement quelques années. Chacun découvrira avec plaisir l’accueil chaleureux et le confort des refuges. Bref, un circuit à ne pas manquer !

Programme

Dimanche 7 : Rendez-vous à Bessans, au gîte du Petit Bonheur, à partir de 17 h

Lundi 8 : de Bessans au Refuge des Evettes

Une très belle arrivée, véritable immersion dans une ambiance de haute montagne, au pied des glaciers

Mardi 9 : du refuge des Evettes au refuge du Carro

Découverte du hameau traditionnel de l’Ecot, épousant le rocher. Arrivée au bord du lac Noir et du lac Blanc

Mercredi 10 : du refuge du Carro au refuge du Fond des Fours

Sentier balcon offrant une vue extraordinaire sur les glaciers de la chaine frontalière, de l’Albaron et de la Levanna

Jeudi 11 : refuge du Fond des Fours

Journée libre  de repos; une randonnée en boucle ou un aller/retour vers un sommet sera proposé.

Vendredi 12 : du refuge du Fond des Fours au refuge de la Femma

Traversée d’espaces minéraux d’altitude.

Samedi 13 : du refuge de la Femma au refuge du Plan du Lac

Découverte des alpages et des chapelles Saint-Barthélémy et Saint-Jacques

Dimanche 14 : du refuge du Plan du Lac au refuge de Vallonbrun

Panorama sur les glaciers de la Vanoise. Outils de découverte du site de Plan du lac, à proximité du refuge

Lundi 15 : du refuge de Vallonbrun à Bessans

Descente sur Bessans, puis découverte du Chemin du Petit Bonheur. Fin du séjour. Ouf ! On en redemande !

Etape

Départ

Altitude

Arrivée

Altitude

distance

Dénivelé positif

Dénivelé négatif

Temps

Lundi 8

Gite du Petit Bonheur

1725 m

Refuge des Evettes

2590 m

15,5 km

1349 m

478 m

6 h

Mardi 9

Refuge des Evettes

2590 m

Refuge du Carro

2760 m

10,7 km

754 m

590 m

4 h 30

Mercredi 10

Refuge du Carro

2760 m

Refuge du Fond des Fours

2537 m

19,9 km

1133 m

1359 m

6 h

Jeudi 11

Refuge du Fond des Fours

2537 m

Refuge du Fond des Fours

2537 m

 –

Vendredi 12

Refuge du Fond des Fours

2537 m

Refuge de la Femma

2352 m

9,2 km

528 m

711 m

3 h

Samedi 13

Refuge de la Femma

2352 m

Refuge du Plan du Lac

2388 m

9 km

428 m

415 m

3 h

Dimanche 14

Refuge du Plan du Lac

2388 m

Refuge de Vallonbrun

2272 m

18,2 km

934 m

1035 m

6 h

Lundi 15

Refuge de Vallonbrun

2272 m

Bessans

1725 m

14,3 km

214 m

775 m

5 h

Cartographie : IGN Top 25 – 3633 ET Tignes Val d’Isère – Haute Maurienne

Cotations

Niveau : 3 – 4
Difficulté : 2
Durée : 8 jours de marche

Hébergement : Refuges
Portage : pas d’assistance, vous portez tous vos affaires pour le séjour

 Equipement

un sac à dos suffisamment grand pour transporter tous vos affaires de la semaine, des bonnes chaussures de montagne, des bâtons, une veste imperméable et coupe-vent, une polaire, une cape de pluie, une casquette ou un chapeau, crème solaire, lunettes de soleil, du linge de rechange pour la semaine, un drap sac, une lampe frontale, vos affaires de toilette, une pharmacie personnelle, une boîte étanche pour le pique-nique de midi, un gobelet, une gourde ou sac à eau (minimum 2 litres),

Attention : en fonction de la situation sanitaire du moment il est possible que le pass sanitaire soit exigé, et il sera demandé de prévoir un duvet (couvertures indisponibles dans les refuges)

Animateur

Michel THEVENARD    tél : 06.30.27.05.99 / mail : michel.thev@orange.fr

Tarif

Hébergement : 500 € en pension complète

Covoiturage : 50 € par personne au départ de Lyon, calculé sur la base de 4 personnes par voiture, à régler à son chauffeur.

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Bulletin d’inscription

Semaine GTA Tour de Haute-Maurienne du dimanche 7 au lundi 15 aout 2022

Séjour limité à 12 personnes

Inscription pour : ……..  personne(s)

Nom : ………………………………………….          Prénom : ………………………………………….

Nom : ………………………………………….          Prénom : ………………………………………….

Nom : ………………………………………….          Prénom : ………………………………………….

Inscription directement sur le site internet  www.gtahandicalpes.fr   avant le 30 mai 2022.
Bulletin d’inscription et règlement à retourner par courrier à :

Bernard DUBOUCH
26 rue Camille Roy
69007 LYON

Tarif : 500 € / personne 

 Règlement (cocher l’option choisie) :

  Règlement par chèques bancaires : en 2 chèques établis à l’ordre de GTA HANDIC’ALPES :

  • 1 chèque d’acompte de 150 €, qui sera encaissé courant juin
  • 1 chèque de solde de 350 €, qui sera encaissé fin juillet

  Règlement par virements : 

  • 1 virement d’acompte de 150 € à l’inscription
  • 1 virement de solde de 350 €, avant fin juillet

Si vous réglez par virements bancaires, merci de prévenir Bernard Dubouch par mail (dubouch.bernard@neuf.fr ) en précisant le montant et l’objet (semaine GTA Tour de Haute-Maurienne)

Votre inscription ne sera validée qu’à réception de votre règlement.

Si vous avez un régime alimentaire particulier, veuillez le préciser à l’inscription :

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